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 Je veux être ausi intelligente que Judith Bernard !!

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zazou
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MessageSujet: Je veux être ausi intelligente que Judith Bernard !!   Je veux être ausi intelligente que Judith Bernard !! EmptySam 20 Sep - 15:51

Cette analyse de Judith Bernard trouvée sur le site d'arrêt sur images m'a tellement fait jubiler qu'il me faut vous la faire partager! Alors y parait que mon message dépasse la longueur autorisée...tu m'étonnes! Donc, me voilà obligée de vous restituer cette chronique en plusieurs morceaux....

"Les pom pom girls à la tribune

Dati et Kosciusko-Morizet signent un Rebond dans Libé

Dans les pages "Rebonds" de Libération se déploient d’habitude des analyses savantes et des points de vue engagés que le journal accueille en fin de pagination : manière d’ouvrir les colonnes à de plus amples développements argumentatifs, à des signatures extérieures à la rédaction, et à des positions ouvertement partisanes que les pages strictement factuelles et informatives n’ont pas vocation à recevoir. C’est l’endroit où ça débat, où ça polémique, où les spécialistes ont l’occasion de revenir sur un fait pour en éclairer des facettes que les feux de l’actualité avaient d’abord dérobées au regard : ça instruit, ça fait cogiter, on s’y chauffe les neurones jusqu’à porter parfois le cerveau à ébullition.


D’habitude.

Mais quand Rachida Dati et Nathalie Kosciusko-Morizet s’emparent de la tribune, c’est une autre histoire, et les pages Rebonds portent mieux que jamais leur bondissante appellation.

Doiiiiiiiiiiing fait le titre plein de ressort :

« Parler avec tout le monde ! ».

Sans doute est-ce la rédaction qui a opté pour cet enthousiaste infinitif en forme d’amour universel, et pour ce point d’exclamation qui semble dire youpi youpi, mais le moins qu’on puisse dire est que le titrage ne trahit ni le fond ni la forme de ce sidérant OMNI (Objet Médiatique Non Identifié, bien sûr). On ne sait quelle mouche un peu ivre a piqué les deux sémillantes Sarko-girls, mais on les trouve la plume pimpante et gaie comme au sortir d’un thé entre copines, après avoir abusé de macarons à la violette.

Pour qui sont ces serpents ?

Pourtant l’affaire est grave et s’ouvre sur ce vigoureux projet : « Il faut refaire de la politique ». Pour un peu, ce serait même un sacré coup de pied dans la fourmilière, car s’il faut en refaire, c’est qu’on a cessé, et ce « on » qui aurait dû et n’a pas fait est forcément quelque part où il aurait pu, c’est-à-dire au pouvoir : sur qui donc tape cette phrase et pour qui sont ces serpents ? On s’enfonce dans le venimeux nid à la deuxième phrase :

« Et en finir avec cet entre-nous qui fait croire aux responsables des partis que la seule consultation de ses propres amis vaut dialogue avec les Français ».

Ça cogne un peu, sans qu’on sache très bien ni sur qui ni pourquoi, ce qui sent un peu son règlement de comptes dans la cour d’école, où les filles font dans un coin des mines graves pour dénoncer les mauvaises actions des méchants garçons. C’est qu’elles savent, elles, comment faire de la politique, et bien jouer dans la cour : les voici qui se lancent, entrant en piste et montrant l’exemple, dès la troisième phrase :

« La politique se partage. La politique se donne. La politique, c’est aller vers tous ceux qui sont exclus du jeu ».

Ici, vous commencez sûrement à comprendre ce qui a déterminé ma lecture affreusement sexiste des deux premières phrases : cette rhétorique toute allumée par la grâce de l’amour du prochain, vibrant de vocation christique, c’est du Ségolène, en pire. La même tendance à la révélation mystique, en version ultra-courte et dévertébrée. La syntaxe est réduite au minimum syndical, et la ponctuation, à sa plus élémentaire fonction : des points, des virgules, pas un connecteur logique, pas une construction subordonnée, qui ouvrirait sur la dialectique de la pensée, ses nuances, ses concessions, ses douloureux paradoxes, non, dans tout l’article vont s’égrener des salves émotionnelles affirmatives que la rigueur du raisonnement et les principes de l’argumentation semblent avoir purement et simplement désertées. Mais j’exagère : il n’y a pas que des points et des virgules. Il y a aussi des points d’interrogation :

« Où est passée la magie de 2007 ? » *.

Et là vous dites : oui, où ? - mais euh, au fait, quelle magie ?

Le magicien et la surprise partie

Cherchez bien : la magie de 2007. Vous n’avez pas trouvé l’année magique, façon feu d’artifice permanent, festival de réjouissances et concert de hourras ? C’est parce que vous n’étiez pas assez sarkophile. L’eussiez-vous été, vous vous seriez réjouis, avec Nathalie et Rachida, qui ne se lassent pas de la tournure interrogative dont elles viennent de mesurer le formidable potentiel agitatoire :

« Les foules retrouvées ? Ces 83% de participation dans cette élection capitale ? Où est passé le style, la vraie parole politique, celle comprise immédiatement, qui fait vibrer, bouger, espérer ? ».

Donc, dans le chapeau du magicien, en vrac, les foules retrouvées (au pied de Sarkozy), la participation phénoménale à l’élection triomphale (de Sarkozy), la vraie parole politique (de Sakozy), qui fait vibrer, bouger, espérer (les sarkozystes).

On sent, a posteriori, combien elles ont pris leur pied alors, tandis que nous bouffions les nôtres de rage et de désespoir. L’amusant de la chose n’est pas seulement cette sidérante myopie, à moins que ce ne soit une assez féroce ironie, qui les conduit à écrire dans un journal « de gauche » combien délicieuse fut cette année qui signa la très complète déconfiture de cette même gauche. L’amusant est aussi dans ce biscuit à deux couches dont la première a l’air de faire l’éloge de leur idole quand la deuxième lui est un cinglant camouflet : car de magie, à les en croire, il n’y a plus – et en général, quand les tours ne marchent plus, c’est quand même un peu la faute du magicien.

Donc là, on commence à se demander ce qu’elles viennent nous dire exactement, les deux commères : pourquoi prendre leur jolie plume toute pleine de virgules et de points d’interrogation, quel message s’agit-il de faire passer - est-ce à nous (lecteurs d’un journal « de gauche ») qu’elles s’adressent, et dans quel but ? On ne le saura pas tout de suite. Passé le biscuit à deux couches, d’où le magicien est sorti sans chapeau et sans magie, elles enchaînent :

« Nicolas Sarkozy, en cinq ans de combats, cinq mois de campagne, a tout changé. C’est ainsi ! Il est président de la République et son bilan est déjà simplement énorme. Que telle mesure soit contestée, que le rythme surprenne, et la démocratie bat son plein ! Voilà la surprise. »

Et voilà la tournure interrogative troquée contre la tournure exclamative, dont les vertus agitatoires ne sont pas moindres ; au passage le magicien semble rétabli dans ses pouvoirs, et pas n’importe lesquels : ce qu’il a fait c’est « déjà simplement énorme ». L’énormité, très en vogue dans les productions orales contemporaines depuis que Fabrice Luchini en a étendu l’usage, se taille ici une place de choix dans un registre écrit qui n’y était pas forcément préparé, et fait surgir, décidément, un côté papote entre minettes un tantinet hystériques dans leurs joviales envolées. Car la jovialité est revenue : l’est formid’, notre magicien de président, et c’est pas sa faute à lui si y a plus de magie. Même la contestation fait partie de la fête : la démocratie, comme un bal de quatorze juillet, « bat son plein ». Alors, sont contentes ou sont pas contentes, les filles ? On sait pas : on perçoit juste qu’avec leur champ lexical de la surprise partie, elles commencent à avoir l’air de pom pom girls venues crier, en chantant un peu faux mais avec un enthousiasme touchant, leur indéfectible soutien au roi de la fête. Même si c’est pas la fête tous les jours :

« Il y a des aléas, la crise économique est à nos portes, le pouvoir d’achat malmené, mais la ligne n’a pas varié. Les engagements de la campagne trouvent chaque jour à se réaliser. La politique c’est aussi cela : ne pas tromper, ne pas mentir, ne pas tricher ! Dire ce que l’on va faire et le décider avec tous les autres acteurs qui construisent au quotidien cette France nouvelle. Et surtout, maintenant, aller à leur rencontre, les écouter, leur expliquer ce qui déjà est fait, ce qui transforme nos vies, ce qui peut les mettre en péril, le terrorisme, la délinquance, l’irresponsabilité envers la planète, et tout le reste.»

« Et tout le reste » : il faut savoir faire simple, et bref. Surtout quand on ne sait pas très bien ce qu’on veut dire (à part que le président est formidable, mais ça, ça tient en une demie ligne, ça fait pas un Rebond dans Libé ma chérie).
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zazou
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MessageSujet: suite....   Je veux être ausi intelligente que Judith Bernard !! EmptySam 20 Sep - 15:57

De l’auto-contradiction aveugle

La contradiction éhontée de ce passage, notamment entre « le pouvoir d’achat malmené », et les « engagements de campagne » (de l’autoproclamé président du pouvoir d’achat) qui « trouvent chaque jour à se réaliser », accède au sublime dans le refrain : « ne pas tromper, ne pas mentir, ne pas tricher ». C’est, comme on dit, simplement énorme : et l’on a déjà vu ici que l’énormité était un trait significatif de la rhétorique sarkozyste, dont Nathalie et Rachida ont repris tous les tics, à commencer par celui de l’auto-contradiction aveugle :

« Notre devoir d’élues, de ministres, c’est de ne pas nous cantonner dans de vaines certitudes, d’affronter les désaccords, de proclamer nos convictions et de tenter de les faire partager ! »

Sachant que la certitude (« état de l’esprit qui ne doute pas, n’a aucune crainte d’erreur, conviction ») et que la conviction (« acquiescement de l’esprit fondé sur des preuves évidentes, certitude qui en résulte ») sont dans une relation d’assez étroite synonymie, on s’interrogera avec perplexité sur la possibilité de ne pas s’enfermer dans la première, qui est vaine, tout en proclamant la seconde pour tenter de la faire partager. Nous sommes, décidément, dans le grand n’importe quoi, et l’on se demande ce qu’elles ont à nous dire vraiment, pour ainsi venir agiter leurs exclamations comme des pompons sous nos yeux étourdis. Elles nous l’expliquent enfin :

« … de proclamer nos convictions et de tenter de les faire partager. C’est pourquoi nous avons choisi d’écrire autrement ce qui se passe, à quatre mains. Deux femmes. Différentes. Avec nos parcours parallèles, notre conviction que l’on doit changer le monde au risque qu’il change sans nous et contre nous… »

Donc, en fait, elles nous écrivent ici pour faire partager leurs convictions (qui ne sont pas de vaines certitudes, très mauvais, ça, les vaines certitudes, rien à voir avec les bonnes convictions). Quelles convictions ? « Que l’on doit changer le monde au risque qu’il change sans nous et contre nous ». Je suis désolée de le dire, mais comme vous l’avez tous remarqué, on ne va pas se mettre un mouchoir sur les yeux non plus : la construction est à ce point fautive qu’elle dit à peu près le contraire de ce qu’elle voudrait. On suppose que l’idée de Rachida et de Nathalie consiste à dire qu’il faut changer le monde, parce que sinon c’est le monde qui change sans nous ou contre nous. Mais au lieu de dire cela, elles disent qu’il faut changer le monde au risque (quitte à, en s’exposant à ce) qu’il change sans nous ou contre nous – c’est-à-dire que c’est parce qu’on le change qu’il risque de se retourner contre nous…Joli lapsus dont il est tentant de s’emparer pour le leur retourner à la figure comme on leur mettrait un coup de pompon dans le fond de teint : eh oui, les filles, avec votre manière de « changer » le monde, en effet, il résulte souvent qu’on se le prend en pleine poire.

Mais revenons au projet rhétorique de leur bafouille, dont on échoue encore à percer le mystère : elles écrivent, nous disent-elles, pour « faire partager leurs convictions ». Cela s’appelle convaincre, et cela suppose des arguments, dont on cherche vainement la rigueur logique et la force de frappe dans l’ensemble du bidule. La suite, bâtie sur une anaphore en parce que, pourrait laisser croire que le gros morceau argumentatif arrive enfin :

« Parce que la France est là qui attend, qui a fait le pari, avec nous, de se transformer. Parce que l’Europe se construit et vient, tous les jours un peu plus, rythmer nos vies ».

Soupir. On le sait bien pourtant que la parole politique c’est ça, c’est juste ça, cette espèce de prêchi-prêcha qui nous met dans la position du croyant communiant dans la foi et l’espérance, homélie juxtaposant des phrases essentiellement descriptives – la France est là, la France attend, l’Europe se construit, elle rythme nos vies – qui ne mangent pas de pain, et font passer le temps en attendant le miracle. On a beau le savoir, quand on le voit – et on le voit encore mieux quand c’est écrit – on ne peut s’y résoudre. On voudrait autre chose : une analyse un peu plus profonde du monde, un début d’explication rationnelle sur les choix politiques, la revendication d’une idéologie comme vision et comme méthode… Las. Il faut se contenter de ça :

« Cette métamorphose, nous la ferons tous ensemble. Avec la force nouvelle d’être cette nation métissée. Dans cette diversité sans laquelle s’épuise notre créativité. Les différences s’additionnent, nous constituent et façonnent notre avenir commun. »

Tous ensemble, tous ensemble, ouais, ouais.

Au moins commence à se dégager le pôle thématique spécifique du topo : la notion de métissage ou de diversité comme valeur. Ce n’est pas nouveau, mais ça n’a pas toujours été consensuel, de ce côté-là de l’échiquier politique : voici donc le gros morceau, l’acmé rhétorique : la diversité, c’est bien. Et concrètement, ça change quoi, dans la politique dont elles nous ont prévenus qu’il fallait la « refaire » ? Ça donne ça :

« C’est pourquoi nous allons bouger, ici et là, à la rencontre de cette France, la nôtre, terriblement concrète, séculaire et si nouvelle, inattendue. C’est le moment. La gauche se referme dans des luttes immédiates d’appareil, de quête de pouvoir. »

Ayé. J’ai compris ce qu’elles viennent faire dans les pages de mon quotidien : elles viennent « bouger » (c’est elles qui le disent) ici et là mais donc surtout ici, au cœur du lectorat d’un journal « de gauche », probablement lassé par l'enfermement sur soi de ses représentants traditionnels. Elles viennent me dire : « Toi qui es fatiguée de l’odeur de renfermé de ton parti, viens chez moi ça bouge c’est punchy et j’ai les mêmes valeurs que toi ». Cette main tendue (et bien manucurée) te surprend ? Allons, la France certes est séculaire (ça veut dire qu’elle est vieille de plusieurs siècles, comme l’opposition droite-gauche), mais elle est nouvelle, inattendue : tellement inattendue qu’on peut même se serrer la pogne entre filles de gauche et filles de droite.

Aussi ne suis-je pas tellement dupe de la suite du texte qui promet une bien vaste bougeotte à coups de déplacements TGV : « C’est pourquoi nous voulons susciter de nouveaux lieux de dialogue parce qu’Argenteuil, La Courneuve, Vaulx en Velin ou les quartiers Nord de Marseille c’est cette France plurielle. Nous irons partout à Charleville-Mézières, à Pau, à Clermont-Ferrand, à Limoges, à Rouen, à Roubaix… »

…Et même à Libé, tiens ! « Là où nous devons proposer la construction d’un monde plus juste, plus généreux, plus solide. Là où naissent des idées nouvelles ». Il s’agit, tenez-vous bien, de « refonder le pacte républicain. Nous ne pouvons le faire qu’en respectant la singularité de chacun, en retrouvant l’élan populaire qui est notre marque ». Point final.

Et donc le titre ne mentait pas décidément, qui annonçait qu’il faut « Parler avec tout le monde (point d’exclamation) ": pour Rachida et Nathalie, parler avec tout le monde, ça suppose, d’abord, de parler avec les lecteurs de Libé. Où l’on comprend du coup que les serpents sifflant en début de papier sur quelques têtes au pouvoir (mais lesquelles exactement ?) valaient essentiellement comme brevet de bonne conduite de politique subversive, façon : tu n’aimes pas les mecs de droite ? Nous non plus (certains. Mais on te dira pas lesquels : faut pas déconner non plus).

Ayant lu intégralement leur vibrante invitation (à quoi d’ailleurs ? à bouger avec elles ?), l’ayant écoutée avec probablement plus d’attention encore qu’elles n’en réclamaient, je me sens autorisée à leur faire cette petite réponse. Si vous voulez respecter ma singularité, les filles, commencez donc par respecter cette exigence toute bête à laquelle je suis assez sensible : chez moi, pour convaincre, on raisonne et on argumente - on ne se contente pas de faire du bruit en agitant tout plein d’exclamations creuses, contradictoires et fautives. Et donc permettez-moi, dans cette cour d’école où vous êtes venues chanter le plaisir de jouer avec vous, de rester dans mon coin avec mes vieux bouquins pourris.



* Vous aurez noté que je vous ai épargné une phrase; mais la source, comme la politique selon les filles, se donne, elle se partage - la voici donc : « Et dans nos grandes démocraties qui se croient modernes, les oubliés font les bataillons les plus nombreux ». A vous de jouer si vous avez envie d’en extraire la très substantifique moelle.

Par Judith Bernard le 18/09/2008"



Alors, jubilatoire ou pas? vh



dis-donc, c'est rigolo d'écrire en couleur!! cessde OK,OK.....
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Bb
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MessageSujet: Re: Je veux être ausi intelligente que Judith Bernard !!   Je veux être ausi intelligente que Judith Bernard !! EmptyMar 23 Sep - 22:41

Respect!
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Manue
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MessageSujet: Re: Je veux être ausi intelligente que Judith Bernard !!   Je veux être ausi intelligente que Judith Bernard !! EmptyMer 24 Sep - 21:52

Pareil que Bb: RESPECT

- à Zazou pour cette prouesse dactylographique (à moins que ce soit 1 copié-collé??!!!ce que je comprendrais du reste!!!)

- à Judith Bernard, ça va de soit...
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zazou
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MessageSujet: Re: Je veux être ausi intelligente que Judith Bernard !!   Je veux être ausi intelligente que Judith Bernard !! EmptyMer 24 Sep - 22:59

houla, rassures-toi, c'est du copié-collé. La dactylo, ça me parait bien trop fatiguant!!

ceci dit, j'ai quand même repris la mise en page (titres en gras, italiques, etc...) kjhk
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Schlika
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MessageSujet: Re: Je veux être ausi intelligente que Judith Bernard !!   Je veux être ausi intelligente que Judith Bernard !! EmptyDim 12 Oct - 22:58

Bon les filles, je crois que mon cerveau se ramollit de jour en jour. Ce genre de lecture me rapelle que j'en ai un et que je peux l'utiliser à autre chose qu'à organiser la semaine ou faire ma liste de course !!!!!!!

Bouh le quotidien me suce la moelle
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LN
Purple Méduse
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LN


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MessageSujet: Re: Je veux être ausi intelligente que Judith Bernard !!   Je veux être ausi intelligente que Judith Bernard !! EmptyVen 17 Oct - 0:42

Waouh !! Je l'avais raté ce sujet.

C'est-y pas magnifique de voir la droite se faire démonter de la sorte ?

J'en veux encore, et moi aussi, je veux être aussi intelligente de Judith Bernard (point d'exclamation)
En réfléchissant à cette phrase : « Et dans nos grandes démocraties qui se croient modernes, les oubliés font les bataillons les plus nombreux » (Judith, j'aurais préféré que tu la commentes toi-même), je me rends compte que je parle plus comme Rachida que comme Judith, enfin pour la forme, pas pour le fond.
Et donc, je ne vous ferais pas subir le fruit de mon intense réflexion.
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MessageSujet: Re: Je veux être ausi intelligente que Judith Bernard !!   Je veux être ausi intelligente que Judith Bernard !! Empty

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